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ENTRETIEN - Entre un drame solaire et une comédie satirique grinçante, la comédienne récompensée à Cannes pour _La Vie rêvée des anges_ présente deux films à la Quinzaine des cinéastes. Elle
répond sans langue de bois au _Figaro_. À la terrasse Unifrance, tout le monde s’agite. Un buffet à volonté et un bar sont pris d’assaut par une foule de gens de cinéma, tous électrisés par
le festival. Une véritable ruche. Élodie Bouchez attend dans une grande salle vide. Après _L’Amour ouf_, qui avait fait sensation l’an dernier sur la Croisette, elle est de retour dans deux
films cannois présentés à Un certain regard : _Enzo_, de Laurent Cantet et Robin Campillo, et _Classe moyenne_, d’Antony Cordier. Souriante, un rien timide, élégante en veste de smoking
grège, la comédienne n’a rien perdu de son envie de jouer la comédie. LE FIGARO. - L’AN DERNIER, VOUS ÉTIEZ ICI POUR _L’AMOUR OUF _. VOUS ÊTES DE RETOUR AVEC _ENZO _ET _CLASSE MOYENNE _. QUE
PENSEZ-VOUS DE LA JOYEUSE FOLIE QUI RÈGNE SUR CETTE MANIFESTATION ? ÉLODIE BOUCHEZ. - J’adore ce rendez-vous auquel je participe quasiment tous les ans depuis ma première venue en 1994,
pour _Les Roseaux sauvages,_ d’André Téchiné. Franchement, le Festival de Cannes est une manière formidable…