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* Des violences et des pillages ont été constatés en marge de la fête après le sacre du PSG. * Le dispositif a été "à la hauteur", juge Bruno Retailleau, qui se fait reprendre par
le RN. Après le préfet de police de Paris, le ministre de l'Intérieur a tenu à faire le point sur les violences commises samedi 31 mai, en marge des célébrations après la victoire du
PSG en finale de la Ligue des champions. Deux personnes sont mortes, l'une à Dax et l'autre à Paris, dans la soirée, sans que l'on sache si ces décès sont liés aux festivités.
À Grenoble, quatre personnes d'une même famille ont été blessées, dont deux grièvement, après qu'une voiture a heurté la foule célébrant la victoire du club parisien. Sur les
Champs-Élysées, des vitrines de magasins ont été vandalisées et des boutiques pillées par des casseurs. "C'EST UN FIASCO, ÉVIDEMMENT" "Cette nuit, la fermeté de la
réponse sécuritaire a été à la hauteur", a considéré Bruno Retailleau face à la presse après avoir félicité le club parisien et remercié les forces de l'ordre "mises à rude
contribution". Le ministre a également fourni un bilan actualisé, avec 563 interpellations, dont 307 gardes à vue réalisées par les policiers. Lire aussi Débordements à Paris après la
victoire du PSG : le préfet de police dénonce "des bandes de pilleurs" Mais la satisfaction de Bruno Retailleau n'a pas été appréciée par l'extrême droite. "En
n'ayant ni la lucidité ni l'honnêteté de reconnaître ce chaos, et d'en nommer les causes, le laxisme sécuritaire et l'immigration incontrôlée, Bruno Retailleau se
condamne définitivement à l'échec", a rétorqué sur X Jordan Bardella, le président du Rassemblement national (RN) évoquant un "déni" de la part du ministre de
l'Intérieur. "C'est un fiasco, évidemment", a abondé Sébastien Chenu, invité du Grand Jury RTL/Le Figaro/Public Sénat/M6. Le vice-président du RN a estimé que Bruno
Retailleau n'avait "pas les leviers pour agir". ------------------------- C.Q