Aide à mourir : « Pour beaucoup de médecins, la fin de vie reste un tabou »

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AIDE À MOURIR : « POUR BEAUCOUP DE MÉDECINS, LA FIN DE VIE RESTE UN TABOU »


Elle est confrontée régulièrement à des demandes d'aide à mourir. Neurologue à l'hôpital Cochin, à Paris, le docteur Valérie Mesnage est spécialiste de ces maladies


neurodégénératives qui sont aujourd'hui au cœur des préoccupations. Chargée de mission au centre d'éthique clinique de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris, elle a cofondé


le collectif Pour un accompagnement soignant solidaire.


Elle nous explique pourquoi elle soutient une évolution de la loi, les difficultés que cette perspective pose au monde soignant et pourquoi, selon elle, l'exigence d'une proximité


de la mort naturelle de la personne n'est pas pertinente.


LE POINT : Quel regard portez-vous sur la manière dont les débats se sont engagés à l'Assemblée ?


VALÉRIE MESNAGE : Il y a pour moi quelque chose de très dommageable...


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