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La chanteuse américaine a annoncé avoir récupéré les masters et enregistrements originaux de ses six premiers albums, lesquels ont appartenu, entre 2019 et 2020, à un acheteur incarnant
selon elle « le privilège masculin toxique ». Grâce à cette transaction, l’artiste contrôle l’ensemble de son œuvre, relève Isabelle Chaperon, journaliste économique au « Monde ».
Publié le 02 juin 2025 à 11h00 Temps de Lecture 1 min. Read in English
Glamour, sexisme et coups bas, la bataille menée par la chanteuse américaine Taylor Swift pour récupérer la propriété de ses œuvres de jeunesse recèle tous les ingrédients d’une bonne série
TV. Avec un résumé aguichant : la revanche du travail sur le capital.
Vendredi 30 mai, en effet, la superstar a annoncé qu’elle avait racheté au fonds d’investissement Shamrock Capital les masters ou enregistrements originaux de ses six premiers albums. Cette
transaction, dont le montant n’a pas été divulgué, lui confère les droits d’exploitation des opus allant de Taylor Swift (2006) à Reputation (2017), que ce soit pour la distribution de
disques, le streaming ou l’octroi de licence à un film. L’artiste contrôle désormais l’ensemble de son œuvre.
En 2004, l’adolescente avait signé avec la maison de disques Big Machine un contrat standard, offrant à son fondateur, Scott Borchetta, les droits d’exploitation de six albums. En 2018,
Taylor Swift rejoint Universal Music, où elle conserve les masters de ses futurs albums. Les six premiers restent la propriété de M. Borchetta jusqu’à ce qu’il cède son label, en 2019, à un
agent de stars, Scooter Braun, pour 300 millions de dollars (263 millions d’euros).
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