Roland-Garros : «On m’a craché dessus, jeté des objets», dénonce le Serbe Miomir Kecmanovic

feature-image

Play all audios:

Loading...

Roland-Garros : «On m’a craché dessus, jeté des objets», dénonce le Serbe Miomir Kecmanovic Par Cédric Callier à Roland-Garros Le 29 mai 2025 Suivre Lire dans l’app Copier le lien Lien copié


Mail Facebook X Linkedin Messenger WhatsApp Miomir Kecmanovic Sandra Ruhaut / Icon Sport À l’issue de sa défaite contre Quentin Halys, le joueur serbe a rapporté des débordements du public


du court 14.


Passer la publicité Passer la publicité Publicité «L’atmosphère était horrible. On m’a craché dessus, jeté des objets…» Mercredi, après sa défaite en quatre manches (4-6, 6-3, 7-6, 7-5) face


au Français Quentin Haly, Miomir Kecmanovic était revenu, auprès du média serbe SportKlub, sur ce qu’il venait de vivre, dans des termes rappelant fortement ceux prononcés un an auparavant


par David Goffin. Victorieux de Giovanni Mpetshi Perricard, le Belge n’avait alors guère goûté à «l’ambiance malsaine», selon ses propres mots, régnant dans les tribunes. «Ça devient du


foot, bientôt il y aura des fumigènes, des hooligans et ça se battra dans les tribunes. Ça commence à devenir ridicule. Certains sont plus là pour foutre le bordel que pour mettre


l’ambiance. Aujourd’hui, quelqu’un m’a craché son chewing-gum.»


À découvrir [Bon Plan] Suivre gratuitement la Coupe du Monde des Clubs FIFA 2025 Roland Garros simples messieurs Roland Garros simples dames Pour le Serbe, ces débordements sont liés au


court numéro 14, qui s’était déjà distingué mardi par sa ferveur plus que limite lors de la défaite du Français Alexandre Muller face à Jakub Mensik. « Ici, c’est pire que sur les autres


courts, les gens sont proches, tout résonne. Sur un plus grand court, on n’entendrait pas autant les insultes parce que les gens ne sont pas aussi proches. C’était certes un joueur français


mais c’est un manque de respect total.» Et le Serbe de conclure, non sans une once d’esprit de mauvais perdant : «C’est terrible de jouer dans un tel environnement, je suis convaincu qu’il


(Halys) ne m’aurait pas battu ailleurs.»


À VOIR AUSSI - Quand Carlo Ancelotti visite le centre d’entraînement du Brésil