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EXCLUSIF - Famille, souvenirs, montres... Un quart d’heure chrono avec le directeur de l’équipe de Formule 1 Oracle Red Bull Racing. Publicité Christian Horner est un homme très demandé,
très pris et donc très pressé. Le capturer ne serait-ce que quelques minutes à la veille d’un Grand Prix de Formule 1 relève en principe de l’exploit. Mais avec un titre des constructeurs
pour l’écurie Oracle Red Bull Racing, et une seconde couronne de champion du monde d’ores et déjà conquise par Max Verstappen, l’ambiance lors du Grand Prix d’Abu Dhabi était nécessairement
un peu plus détendue que d’ordinaire en Formule 1, sport de performances et d’exigence s’il en est. Au poignet de Christian Horner, les amateurs pouvaient alors déjà remarquer une montre qui
en fait n’existait pas, ou plutôt pas encore: la TAG Heuer Monza, Chronomètre Flyback Skeleton, la première du genre, que Frédéric Arnault, à la tête de la marque, lui avait confié. Un
quart d’heure chrono, et cinq questions à toute vitesse, avec le directeur de l’équipe Oracle Red Bull Racing. QUELLE EST VOTRE DÉFINITION DU TEMPS LIBRE IDÉAL? CHRISTIAN HORNER: Ce qui est
le plus précieux pour moi, c’est le temps passé avec ma famille. J’ai un jeune enfant, c’est un temps essentiel. Les enfants grandissent si vite, c’est bien de ne pas trop voyager pendant
l’hiver, après la fin de saison. D’essayer d’être au moins là le week-end, même s’il y a y a toujours beaucoup de travail avec l’équipe. QUE CONNAISSIEZ-VOUS DE TAG HEUER AVANT QUE LA MARQUE
NE DEVIENNE VOTRE PARTENAIRE? Pour moi, cela a toujours rimé avec de beaux chronographes. Je suivais déjà la Formule 1 quand j’étais enfant, je voyais Ayron Senna avec ce logo TAG Heuer.
Pour moi, la marque a toujours été synonyme de Formule 1. Vous aspiriez à posséder une de ses montres. Et la première fois que j’ai acheté une montre un peu coûteuse, c’était justement une
TAG Heuer. J’avais gagné une course à Monaco en ce qui est aujourd’hui la Formule 2 mais s’appelait alors la Formule 3000. Et Bernie Ecclestone m’a remis un prix en cash! Je me suis dit «_si
je ramène cet argent à la maison, il va être dépensé.»_ J’ai voulu m’offrir quelque chose pour commémorer cette victoire. Alors, à l’aéroport de Nice, je me suis acheté une TAG Heuer Monza
comme souvenir. Et c’est amusant, car il y a quelques semaines de cela, Frédéric Arnault m’a remis la nouvelle Monza. Mais j’ai toujours celle que je m’étais acheté, elle compte beaucoup à
mes yeux. QUELLE SERAIT VOTRE DÉFINITION D’UNE BONNE MONTRE? Quelque chose de fiable et de polyvalent, pratique sur laquelle vous pouvez comptez, adaptable et qui soit précise. Elle doit
proposer le meilleur entre fonction et style. J’ai occupé au fil de ma carrière différentes fonctions dans différents univers, et traversé les fuseaux horaires. Je pense qu’une bonne montre
doit vraiment être polyvalente. LE MEILLEUR MOMENT DE VOTRE VIE PROFESSIONNELLE? Je dirais Abu Dhabi… mais en 2010! Lorsque nous avons gagné le premier titre de champion du monde avec
Sébastian Vettel, contre vents et marées. C’est toujours très important la première fois. Après, la saison que nous avons eu l’année dernière à Abu Dhabi, cela aura aussi été un sacré
combat. Cela aura été un moment incroyable. CÔTÉ FILM, VOUS ÊTES PLUS DRIVE, AVEC RYAN GOSSLING, OU FORD VS FERRARI, AVEC MATT DAMON ET CHRISTIAN BALE? Je dirais plutôt le premier! On y
retrouve l’envie de gagner, la compétition, l’audace, la passion, et tout ce qui se passe derrière les portes des écuries de course. À VOIR AUSSI - Décès de l’ancien pilote français de F1
Philippe Streiff