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* Accueil * Faits divers «SALUT LA CONNE, ÇA VA ?» : CINQ ANS APRÈS LES INSULTES ET HUMILIATIONS, LA GRANDE DÉRIVE DES «CRÉAS» D’UBISOFT DISSÉQUÉE PAR LA JUSTICE RÉCIT - En 2020, des
dizaines de témoignages dénonçant le harcèlement moral et sexuel de cadres du prestigieux service «édito» avaient brisé l’omerta chez Ubisoft. Trois d’entre eux y régnaient dans une ambiance
sexualisée. Ils comparaissent à partir de ce lundi. Montreuil, siège social d’Ubisoft, année 2020. Au prestigieux service «édito» du célèbre éditeur de jeux vidéo, trois hommes règnent sur
les équipes, suscitant la crainte et une forme d’admiration, dans ce vaste plateau au 6e étage des locaux. Serge Hascoët, génie de la «créa», figure historique du groupe arrivée en 1988, y
occupe le poste de directeur. Thomas François, dit «Tommy», celui de vice-président depuis cinq ans. À ce titre, «Tommy» pilote le service, où il insuffle ses idées. Quand il n’est pas
claquemuré dans son bureau, à quelques encablures de l’open space, Hascoët, en numéro 2 du groupe, passe son temps entre deux réunions, deux avions. Il vient de perdre son épouse d’un
cancer. Une batterie d’assistants tient son emploi du temps. Avec «Tommy», tous deux forment un inoxydable tandem. Guillaume Patrux, figure moins publique, dirige quant à lui une petite
équipe de créatifs dédiée au jeu vidéo Agos : A game of space. Loin de ses désillusions et incertitudes actuelles, le…