«l’objectif est de s’inspirer des meilleures pratiques»: renault s’appuie sur la chine pour ses futurs véhicules

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DÉCRYPTAGE - Le Losange a créé une équipe de 150 personnes à Shanghaï pour stimuler son technocentre français et accélérer le lancement de nouveaux véhicules. Renault n’a pas d’usine en


Chine. Mais le Losange n’a pas hésité à y ouvrir une couveuse de matière grise pour développer à une vitesse record et à un coût imbattable ses véhicules de demain. En un an, une équipe de


150 personnes a été constituée à Shanghaï dans les locaux d’ACDC, le nom rock-and-roll de cette nouvelle entité. Sa mission : parvenir à développer en deux ans la prochaine Twingo électrique


à moins de 20.000 euros que Luca de Meo, le directeur général de Renault, avait exhibée à Paris lors du capital market day de novembre 2023. Mission presque accomplie. Ce test grandeur


nature va tout changer dans la manière dont Renault conçoit, développe et industrialise de nouveaux modèles. La méthode a visiblement fait ses preuves. Le carnet de commandes d’ACDC comprend


deux autres projets : le successeur à 18.000 euros de la Dacia Spring et le jumeau de la nouvelle Twingo pour Nissan. Depuis un an, les équipes de Renault et d’ACDC apprennent à travailler


ensemble. La première…