
- Select a language for the TTS:
- French Female
- French Male
- French Canadian Female
- French Canadian Male
- Language selected: (auto detect) - FR
Play all audios:
l'essentiel Arrivée de la Sarthe, elle succède à Isabelle Knowles qui a rejoint la préfecture de police de Paris. Véronique Ortet, la nouvelle secrétaire générale de la préfecture de
l’Aveyron, sous-préfète de l’arrondissement de Rodez, n’arrive pas en terrain trop inconnu. En poste depuis lundi, après avoir quitté son siège de sous-préfète de l’arrondissement de La
Flèche, dans la Sarthe, elle revient dans une région qui lui est chère. Et pour cause, sa maison familiale, où réside son époux, se trouve dans le Lot et sa famille est installée dans la
Haute-Garonne. "J’ai été très heureuse que l’on me propose ce poste, je voulais revenir dans le Sud", explique celle qui a hérité de son premier poste de sous-préfète en
Haute-Loire, à Brioude, en 2019. À cette occasion, elle a notamment eu écho d’un dossier qui préoccupe plus particulièrement les édiles aveyronnais, à savoir celui de la RN 88 à deux fois
deux voies. La problématique agricole, notamment en zone d’élevage, ne lui a pas non plus échappé à ce moment. Pour l’heure, Véronique Ortet s’attache à rencontrer beaucoup de monde, que ce
soit au sein de l’administration ou de la politique locale, son souhait étant d’être opérationnelle le plus rapidement possible. Elle a commencé sa carrière dans l’administration publique en
1998, dans l’action sanitaire et sociale des départements de l’Ain, des Pyrénées-Atlantiques, de la Corrèze, puis à la direction de la DDCSPP (protection des personnes) dans le
Tarn-et-Garonne. Même si elle n’a pas évoqué le sujet devant les journalistes, elle fut notamment décorée de la Légion d’honneur à ce moment-là, en 2017, entre autres pour son action menée
auprès des personnes en difficulté. Elle succède à Isabelle Knowles qui, après un peu plus de deux ans et demi passés en Aveyron, a rejoint la préfecture de police à Paris. Véronique Ortet a
souligné son envie de s’inscrire dans la " continuité de Mme Knowles", en allant sur le terrain, "en étant à l’écoute des élus et de l’institution pour construire des projets
de manière partenariale et collective, c’est le plus efficace".