Le major joël thiriet, nouveau patron des gendarmes locaux de trèbes

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l'essentiel Voilà trente ans que le major Joël Thiriet s’est enrôlé dans le corps de gendarmerie. Aujourd’hui, c’est au sein de la COB qu’il officie. Avant de poser ses valises à


Trèbes, où il vient de prendre le commandement de la Communauté de brigades (COB) qui regroupe Trèbes et Capendu, le major Joël Thiriet a passé 20 ans dans l’Aveyron, son dernier poste étant


à Belmont-sur-Rance. Originaire de Marseille, c’est en 1993 qu’il intègre l’école de gendarmerie de Montluçon. Sa première affectation le conduira en Isère pour une période de 10 ans. Puis,


c’est dans l’Aveyron qu’il passe 20 ans, occupant quatre postes différents. Trente années de carrière qu’il va désormais poursuivre au sein de la brigade trébéenne. Il est marié et père de


deux enfants dont il est très fier puisque "_militaires tous les deux _", tient-il à souligner. FAN DE PLONGÉE Passionné de plongée, ce moniteur compte rejoindre rapidement un club


afin de pouvoir assouvir sa passion. En attendant, le major s’attache à rencontrer les élus du secteur, mais aussi à découvrir le territoire. Depuis son arrivée à Trèbes, le 17 juillet, le


major a connu deux mois d’été chargés en termes de travail où les interventions ont été nombreuses. C’est ainsi qu’il a pu découvrir, avec satisfaction, une équipe soudée, volontaire à ses


côtés. Des effectifs très disponibles avec lesquels il apprécie travailler. Même s’il a constaté une baisse des cambriolages sur son secteur par rapport à l’ensemble du département, le major


Thiriet entend poursuivre la lutte contre les cambriolages et assurer la sécurité des habitants des deux secteurs. Délits punis par la loi, les violences conjugales et les tapages sont de


plus en plus dénoncés, constate-t-il. Les habitudes ont évolué et la parole se libère, peu à peu, et de plus en plus. Pour exemple, les voisins qui, autrefois, n’osaient pas dire entendre


des cris, aujourd’hui osent dénoncer des violences afin de protéger les victimes. Le major a pu constater qu’énormément d’interventions sont initiées par des tiers… Ce qui révèle une prise


de conscience plus importante de l’entourage de victimes de violences conjugales. Quoi qu’il en soit, bien que surpris par les fortes chaleurs de cet été trébéen, le major Thiriet est


satisfait de l’accueil qui lui a été réservé tant à Trèbes que dans toutes les autres communes du secteur que couvre la brigade trébéenne.