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* CLAUDIA LACAVE Publié le 4 mars 2020 Lecture : 3 minutes. Fichier généré le Lire dans l’app Les enseignes orange et vertes se multiplient à vitesse grand V, 200 mètres après Chandarana,
face à Carrefour ou à la place de l’ancien Nakumatt. Le jour de la Saint-Valentin, ce sont des centaines de personnes qui ont embouteillé le trottoir du Naivas en centre-ville pour les
chocolats et fleurs à petits prix. Pourquoi l’entreprise familiale trentenaire attire-t-elle les foules et les investisseurs ? « C’est une success story kényane, familiale, et ça, ça nous a
beaucoup plu », appuie Frank Ndiyo, directeur d’investissement chez Amethis. La société française de gestion de fonds d’investissements en Afrique vient de boucler le rachat d’une part
minoritaire dans le capital de Naivas, première chaîne de supermarchés kényane en termes de parts de marché. Interrogée par _Jeune Afrique_, Wambui Mbarire, directrice générale de
l’association des détaillants du Kenya précise : « Le nouveau propriétaire n’a que 30 % des parts, donc il ne peut améliorer que l’efficacité des opérations pour en faire un commerce plus
profitable.» détaillants la suite après cette publicité la suite après cette publicité