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À travers un communiqué, les syndicats insistent pour "qu'aucun amalgame ne soit fait avec le fonctionnement passé", tout en condamnant "avec force" les
maltraitances subies par les victimes. Radio France Publié le 26/04/2025 18:12 Temps de lecture : 2min Trois syndicats de l'enseignement privé catholique sous contrat des
Pyrénées-Atlantiques s'inquiètent ce samedi dans un communiqué d'un éventuel _"amalgame"_ qui pourrait être fait entre le fonctionnement passé et actuel de
l'établissement Notre-Dame-de-Bétharram. Ce communiqué, signé par les sections locales du Snec-CFTC (syndicat national de l'enseignement chrétien), de la Fep-CFDT (branche de
l'enseignement privé du syndicat) et du Spelc (syndicat professionnel de l'enseignement libre catholique), insiste _"pour qu'aucun amalgame ne soit fait avec le
fonctionnement passé". _Les syndicats assurent avoir pris le temps de la réflexion avant de s'exprimer. Ils apportent d'abord leur_ "soutien aux victimes" _et
appellent_ "à la recherche de la vérité par la justice"._ Les syndicats déclarent _"condamner avec force les maltraitances subies par les victimes. Aucune forme de violence ne
peut être tolérée"_. Un message collectif qui tend aussi à prouver que cette période de violences est révolu. Le communiqué précise :_ "L’établissement actuel n’est plus celui
décrit dans les différents témoignages recueillis"_, assurent les trois syndicats. _"Nous apportons notre soutien aux enseignants en place, agents publics de l’Etat affectés dans
l’établissement par le rectorat, aux personnels de droit privé et à l’ensemble de la communauté éducative de l’ensemble scolaire du Beau Rameau qui doivent collectivement affronter cette
situation difficile"_. L’affaire Bétharram concerne des accusations de violences physiques, psychologiques et sexuelles commises sur des élèves de l’institution catholique Notre-Dame de
Bétharram (Pyrénées-Atlantiques) entre les années 1950 et 2010. Plus de 200 plaintes ont été déposées, impliquant des prêtres, surveillants et parfois des élèves, avec des faits allant de
châtiments corporels à des abus sexuels graves. Partager : l’article sur les réseaux sociaux * Partagez sur twitter (nouvel onglet) (Nouvelle fenêtre) * Partagez sur whatsApp (nouvel onglet)
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